Les 101 Dalmatiens

Fronçois Le Gros était un monsieur d’une vingtaine d’année, citadin, mon intime ami, je crois que ce n’est pas la peine de me présenter, car j’espère que vous me connaissiez toutes et tous. Nous les deux, nous avions un seul but qui était la réalisations des rêves qui sont impossible.
Le rêve dont je vous en parlerai était d’avoir les 101 dalmatiens,-et comme vous saviez, le dalmatien est une race de chien de grande taille à robe tachetée-. Alors, on avait décidé de chercher dans les 5 continentales, commençant par l’Afrique, et finissant par l’Australie.
Après la première recherche qui avait durée 237 jours, on avait eu 87 dalmatiens, qui était en toutes sécurité à Madrid chez mon bras droit Ivan Pernia, qui s’en occupa. Jusqu’à ce que nous arrivâmes à avoir les 14 dalmatiens qui restaient.
Les jours passaient, un jour Pernia m’avait téléphoné, pour m’informer que Loubi Dé Stéfano, le voleur Italien qui avait volé les banques principales de : New York, Rome, Paris, London, Madrid et de Stockholm, avait volé 86 dalmatiens, cela voulait dire qu’il resta un.
Nous étions à ce moment là à Genève en Suisse, nous primes un avion vers Madrid.
A notre arrivée, on constata que le dalmatien qui resta ne cessa plus d’aboyer, il put suivre les traces des autres dalmatiens, après plusieurs heures de recherche, nous trouvâmes la troupe à Barcelone.
Dé Stéfano eut un pistolet, il essaya de nous tuer, heureusement que j’avais une bombe lumineuse, cette dernière troubla le voleur qui se metta à terre, alors je repris les 86 dalmatiens, en plus nous trouvâmes les 14 qui manquèrent. Dé Stéfano essaya de s’enfuir avec un dalmatiens, il roula avec une vitesse incroyable, heureusement qu’il toucha la voiture de Fernando Alonso-le champion de Formula 1-, qui sortit d’un magasin, on se rejoingna à Alonso pour poursuivre le voleur, Alonso se faufila, jusqu’à ce que Dé Stéfano s’arrêta.
Alors je remercia Alonso de son aide, je lui demanda de saluer Michel Salgado et Roberto Carlos, les deux joueurs du REAL MADRID car ils sont des voisins. Alonso me proposa de déjeuner avec lui en compagnie des deux joueurs du REAL MADRID, mais je regretta, je lui expliqua que j’eus beaucoup de choses à faire.
Après avoir attaché Loubi Dé Stéfano à sa voiture, on reprena le dalmatien, et puis on appela la police Espagnole. En revenant à Madrid, nous achetâmes un territoire dans lequel nous batissâmes une réserve pour protéger les 101dalmatiens qui restèrent encore dans le monde.


BEKKALI IBRAHIM / TRONC COMMUN 2 / LYCEE EL WAHDA.